La série

Arthur a pris confiance en lui grâce à ses succès. Depuis la création de Koïda et son ascension fulgurante, Arthur n’a plus les pieds sur terre. Chez Koïda, le chef, c’est lui. Et quand il donne un ordre, on doit lui obéir. Derrière son attitude nonchalante et provocatrice, ses blagues à répétition et son large sourire, Arthur tremble comme une feuille : malgré des choix marketing pertinents, il a grillé les étapes et la santé financière de Koïda est en danger. Il sait que, sans Sarah, son empire s’effondrerait aussitôt. Il a besoin d’elle mais, attention : elle ne doit jamais, au grand jamais, prendre l’ascendant sur lui.

Sarah est extrêmement dévouée à son travail à tel point que Koïda prend toute la place dans sa vie. Elle vit chaque nouveau défi comme de terribles épreuves, ce qui la pousse à traverser des états émotionnels très intenses. Et elle attend quelque part la même implication de ses collaborateurs… Elle cherche à insuffler davantage de rigueur et de sérieux chez Koïda mais se heurte à la nonchalance d’Arthur et au manque de soutien des autres directions de l’entreprise. Sarah va devoir dépasser son stress pour fédérer tout le monde autour de son plan de sauvetage de Koïda.

Adèle est une battante. Adèle est une championne. Tout le monde est unanime – sauf elle. Quand elle intervient auprès d’une entreprise, ses critères personnels d’exigence sont toujours bien plus hauts que ceux qui lui sont fixés. Cela la place dans une angoisse permanente de mal faire les choses. En se mettant ainsi la pression, Adèle s’enferme dans une instabilité qui la pousse à commettre des erreurs, des maladresses, des oublis. Mais heureusement son Ange gardien veillera à la sortir des impasses et l’aidera à se sentir pousser ses ailes.

Messager mystérieux aux paroles de velours, il est là pour aider, non sans une dose d’humour. Il répond toujours aux questions qui nous rongent. C’est un allié précieux dans la difficulté, un guide bienveillant dans l’obscurité, une lumière rassurante dans la nuit de nos songes. Avec lui, l’aventure n’en sera que plus belle. Il tend parfois des pièges, mais surtout n’ayez crainte, ne soyez pas méfiants… c’est peut-être lui qui tire les ficelles !

Alex s’ennuie profondément dans son entreprise. Il a fait le tour du sujet. Ça ronronne un peu trop à son goût. Les cours de finance, c’est une cure de jouvence pour lui. Au contact de ses étudiants, il obtient une reconnaissance qu’il n’a plus en entreprise. Il est charismatique, inspirant et facile. Ses cours sont très suivis. Il est très apprécié par ses élèves et par la direction pédagogique de l’école pour laquelle il travaille, car il démystifie la finance et s’assure que vous ayez bien tout compris.

C’est une employée modèle, dévouée à sa patronne Sarah, qui a fait appel à ses talents lorsque Koïda a connu son ascension fulgurante – et ça n’a pas été de tout repos. Car chez Koïda les défis à relever sont nombreux. Les défis de son métier, d’abord, et les défis du quotidien, ensuite : Charlotte doit travailler auprès d’Emma, sa collègue qui a l’ âge de sa fille, qui se permet de lui donner des leçons et qui est bien moins appliquée et pointilleuse. Charlotte prend sur elle, car ce qui prime c’est le collectif. Elle serre les dents pour soutenir la fonction finance au sein de l’entreprise et redresser la barre avec Sarah.

Ce qui importe à Emma c’est de toucher son confortable salaire à la fin du mois. Elle n’aime pas qu’on lui dise ce qu’elle doit faire et surtout comment elle doit le faire. Le plus important étant : être efficace car le temps c’est de l’argent. Elle est dure à convaincre et questionne toujours les méthodes, parfois à tort et souvent à raison. Elle est orgueilleuse, va devoir apprendre à composer au sein d’une équipe mais les doutes qu’elle émet viennent bousculer et nourrir l’esprit très carré de Sarah et de Charlotte.

Avec une carrière exemplaire dans l’industrie, depuis 30 ans, Richard n’a plus rien à prouver. Il a conquis Arthur et sait comment lui parler pour obtenir ce qu’il veut : les costumes italiens, la voiture de fonction et l’aboutissement de ses demandes d’investissement. Quand Sarah veut mettre de la discipline dans l’entreprise, il sent le vent tourner. Mais il est hors de question de se laisser intimider ! C’est une question de principe. Pour lui c’est Arthur son boss, lui et personne d’autre. En tout cas, tant que cela joue en sa faveur…

David a eu plusieurs vies avant d’être embauché par Arthur. Il sait qu’il présente bien et ça c’est 50% du job de commercial. Le reste repose sur son bagout et le fait qu’il soit très malléable. Il est doué pour réaliser des ventes mais parfois à perte. Il est un peu naïf et certains clients le mènent par le bout du nez. Richard aussi d’ailleurs… David a commis de sérieuses erreurs d'inattention et n’apprécie pas que Sarah le lui rappelle. Il est prêt à mettre des bâtons dans les roues à Sarah pour éviter de devoir se remettre en question.